À compter de ce mois de juin, plusieurs communes françaises appliquent une revalorisation de la taxe foncière, avec des hausses parfois supérieures à 7 %. Cette évolution s'inscrit dans un contexte de tensions budgétaires locales et de recentrage des politiques de logement.
Une pression accrue sur les propriétaires
Les hausses concernent particulièrement les villes moyennes en pleine restructuration ou les zones en mutation (réhabilitation urbaine, projets écologiques). Cela peut impacter la rentabilité locative ou les décisions de revente.
Des disparités fortes selon les villes
À Paris, certaines arrondissements bénéficient encore de modérations fiscales, tandis qu'en grande couronne ou dans des métropoles comme Lyon ou Bordeaux, la facture grimpe. D'autres villes, à l'inverse, stabilisent ou baissent leur fiscalité pour attirer les nouveaux ménages.
Adapter sa stratégie patrimoniale
Ces évolutions incitent à une gestion plus fine du parc immobilier. Anticiper les charges, bien choisir les zones d'investissement, et faire appel à un conseiller sont devenus essentiels pour préserver la rentabilité d'un patrimoine immobilier en 2025.
